On a imaginé le « Club Dorothée Plus », le service de SVOD de l’émission culte des années 90. On s’abonne ?
Et si le fameux Club Dorothée avait sa propre plateforme de SVOD ? À l’image de Disney+ ou de Netflix, nous avons imaginé une plateforme dédiée à l’émission culte de toute une génération. Cela donnera peut-être des idées à TF1 pour entreprendre quelque chose un jour.
Pour mémoire, le Club Dorothée à fait les beaux jours de TF1 entre 1987 et 1997. Une émission aujourd’hui entrée dans le panthéon des show télé culte, tout comme ses génériques interprétés pour la plupart par Bernard Minet («Bioman, Bioman, défenseur de la terre »).
Club Dorothée Plus
Lancée le 2 septembre 1987 et produite par AB Productions, l’émission était présentée par Dorothée, Jacky, Ariane, Corbier et Patrick Simpson-Jones, accompagnés des illustres Musclés et a contribué à lancer le phénomène des mangas japonais en France. Des dessins animés peut-être impossible à voir aujourd’hui dans une émission pour enfants : Ken le survivant, Dragon Ball ou Les Chevaliers du Zodiaque. Ségolène Royal, jeune députée à l’époque, avait même vivement contesté leur violence dans un livre Le ras-le-bol des bébés zappeurs.
Aujourd’hui, ces « bébés zappeurs » se rappellent sans doute encore des journées passées devant Dragon Ball Z (dont le générique est interprété par Ariane), Nicky Larson, Candy, Sailor Moon, Olive et Tom, Princesse Sarah, Jeanne et Serge, Le collègue fou fou fou, Juliette Je T’aime, Le club BCBG, Goldorak, Les Chevaliers du Zodiaque, mais aussi les sitcoms made in AB production comme Hélène et les Garçons, Premiers Baisers, Le miel et les abeilles, Salut les Musclés, Les filles d’à côté ou les séries télé 21 Jump Street, Parker Lewis ne perd jamais, Punky Brewster, Arnold et Willy, etc.
Une plateforme imaginaire
Pour les nostalgiques, il existe la chaine YouTube Génération Club Do avec images d’archives, interviews et témoignages des acteurs de l’époque. Mais coté séries, il n’y pas encore une platforme sur laquelle retrouver tous ces titres cultes de séries animées ou de séries live. On a donc imaginé l’interface d’une plateforme fictive.