Au Turkménistan, on ne rigole pas avec l’image du président, au risque de perdre son emploi.
Ainsi, en août 2010, l’ensemble des établissements publics, comme les écoles et hôpitaux, ont dû acheter un nouveau portrait du président, vêtu d’un costume et d’une cravate bleus. Seulement aujourd’hui, Gourbangouly Berdymoukhammedov préfère le beige et a donc fait réaliser un autre portrait que les mêmes administrations publiques devront acheter à leurs frais. Et cette nouvelle consigne est également assortie d’une punition pour ceux qui ne la respecteront pas : le licenciement.
l’achat de ce nouveau portrait peut lui coûter jusqu’à un tiers de son salaire