polars américains des années 50 s’empare des princesses Disney. Les Pulp Magazines publient principalement de la fiction (très souvent présentée comme la narration de faits réels) et les thèmes abordés étaient très divers, allant de la romance au récit fantastique, en passant par les enquêtes criminelles de détective et aux histoires de science-fiction.

Littérature « Pulp »

La littérature Pulp a pris son nom, non pas d’un style d’histoires ou d’un genre, mais de la qualité du papier sur lequel elle était imprimée. En effet, le papier utilisé pour les magazines Pulp était fabriqué à partir de copeaux de bois réduit en fine pâte, appelé wood pulp en anglais. Cette pâte à bois permettait dès la fin du 19e siècle de fabriquer du papier de basse qualité et donc bon marché. De la fabrication aux histoires publiées, le Pulp est devenu un raccourci pour nommer une littérature populaire aux styles très variés, écrite vite en passant par tous les genres : la romance, le polar, le fantastique, l’épouvante, la SF, le Western, et même les histoires érotiques (softporn). Dans un exercice de style, l’illustrateur Astor Alexander basé à San Diego, plonge les Princesses des films Disney dans cet univers de polars bon marchés. De la Petite Sirène à Blanche Neige en passant par Pocahontas, nos princesses visitent le monde de L.A. Noire.

Blanche Neige

La Belle et la Bête

La Petite Sirène

Milan

Jasmine

Pocahontas

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