L’exposition revient sur les sources du tatouage et présente le renouveau de ce phénomène désormais permanent et mondialisé. Dans les sociétés dites « primitives », issue des mondes orientaux, africains et océaniens, le tatouage a un rôle social, religieux et mystique et accompagne le sujet dans ses rites de passage en l’incluant dans la communauté. À l’inverse, en Occident, on retient qu’il fut marque d’infamie, de criminalité, attraction de cirque (avec le phénomène des side-shows) puis marque identitaire de tribus urbaines.