Dans le genre « je fais du graffiti sans laisser de trace», le graffiti lumineux passe presque inaperçu. Retour sur une pratique qui fait de plus en plus d’adeptes.
Vous vous souvenez de l’encre sympathique ? Dans Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, le testament du patron des studios où joue le lapin-acteur est écrit avec une encre qui apparaît et disparaît à la lumière. C’est peut-être de là qu’est venu l’inspiration de certains graffeurs qui depuis quelques temps utilisent des encres fluorescentes pour créer des œuvres qui ne se révèlent que dans l’obscurité. En témoigne cette vidéo postée récemment sur Fatcap.