Le 11 mai 1981, l’icône planétaire du reggae rendait son dernier souffle. Sa musique, elle, est tout sauf morte.

Aux quatre coins de la planète, de Kingston à Lusaka, de New York à Paris et de Tokyo à Abidjan, les amateurs de reggae célébrent ces prochains jours le message et la musique de Bob Marley, première star venue du tiers-monde devenue le « porte-voix des défavorisés » aspirant à l’émancipation et à la liberté.

Aujourd’hui, les chansons de Bob Marley, ou plutôt ses hymnes, n’ont pas pris une ride et restent des incontournables des festivals et des intermèdes de concerts de tout poil.

C’est qu’à l’instar de celui des Beatles, son répertoire est redécouvert par chaque génération avec la même ferveur. Pour Brian Chengela, directeur de Jah Entertainment, son message engagé imprégéné de spiritualité rastafari « continue, par sa force, de maintenir une unité qui transcende les croyances, les races, les couleurs, les frontières et les cultures ». Universel. via