La trilogie « Cinquante nuances » tirée des bouquins érotiques écrits par la britannique E.L James a fait des émules. Entre anecdotes sur des comportements étranges dans les salles de cinéma, débats sur la qualité des films, et blagues douteuses sur les réseaux sociaux, le film a largement fait parler de lui. Néanmoins, un community manager de la marque Decathlon vient de décrocher la palme de la meilleure anecdote liée au film avec une histoire de cravaches…

Des cravaches à petit prix

Hier sur twitter, un utilisateur a tweeté une vanne sur le film en dénonçant les gens qui achètent des cravaches chez Décathlon mais qui ne font pas d’équitation. Il ne s’attendait sûrement pas à ce qu’un community manager de la marque réponde en expliquant qu’effectivement les ventes de cravaches avaient largement augmenté depuis la sortie du deuxième opus de la fiction érotique : Cinquante Nuance plus Sombres.

L’information a bien fait rire les twittos mais tout ça paraît logique quand on sait que l’enseigne nordique vend ses cravaches à partir de 3 € et qu’elles coûtent au moins trois fois plus cher dans les sex-shops. Les spectateurs de Cinquante Nuances ont peut être des goûts cinématographiques douteux, mais ils savent clairement faire des économies là où il faut…

L’histoire n’est pas tout a fait terminée puisque le commmunity manager de Leroy Merlin a surenchérit en faisant une blague sur le film Thor et leurs ventes de marteaux. Il faut apparemment être doté d’un humour tout terrain pour être CM pour des grandes enseignes.