« On The Docks » est le nouvel opus de la saga, met en scène leur désir mutuel porté à son apogée, sous un angle inédit : celui de l’épopée.

Communiqué de presse.
l y a 15 ans, un baiser resté dans les annales les réunissait pour la première fois à l’écran. Depuis, « Classique » et « Le Male » incarnent les amants terribles de la parfumerie. Au rythme de la « Casta Diva », extraite de la Norma de Bellini, ils s’aiment, se désirent, se quittent et se retrouvent. Héros d’une saga publicitaire devenue culte, la belle et son marin ont joué tous les registres : double jeu, transgressions, passion, séparations.

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« On The Docks » (« Sur les Quais »), nouvel opus de la saga, met en scène leur désir mutuel porté à son apogée, sous un angle inédit : celui de l’épopée. Des entrailles du cargo à l’appartement-boudoir, les séquences haletantes du nouveau film content la montée de leur désir et appellent l’exploit.

Une épopée romanesque

Signé par le réalisateur anglais Johnny Green*, « Sur les Quais » capture l’appel des corps.
« Classique », charnelle femme au corset, sirène contemporaine, attire Le marin « Le Male » dans ses filets. Comme envoûté par l’appel de sa belle, Ulysse des temps modernes, le héros à la marinière relève alors tous les défis, surmonte tous les obstacles pour retrouver l’objet de son désir. Rien ne l’arrêtera, ni la mer, ni la terre, ni même leurs différences. Avec son bateau, il fend le bitume et pénètre la ville en emportant tout sur son passage. Comme aimanté, le marin court sur le pont vers sa belle en corset qui l’attend à son balcon. Maîtresse de son pouvoir, elle le cueille à la proue pour l’amener à sa bouche.

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Ue pied de nez : une tradition chez Gaultier

Nos héros appartiennent à deux univers que tout semble opposer ? Sur son cargo, il côtoie les dangers de la mer, partage douche, dortoir et lavabo quand elle évolue dans le raffinement et la sophistication de son appartement boudoir et dort dans des draps de soie. Transgression sociale ? Amours impossibles ? Homme objet ? Maîtresse Femme ? Chez Gaultier, justement le pied de nez aux codes établis est une tradition.

Alors que le marin se tend de désir, la femme « Classique » recule pour encore mieux l’attirer à elle.
Loin de Juliette attendant patiemment et passivement son Roméo, libre de ses faits et gestes, « Classique », non contente d’attirer le marin jusqu’à elle, l’empoigne presque virilement lorsqu’il se présente à son balcon. Le marin, déterminé, sûr de son désir, semble soudain brouiller les pistes… Il doute : « C’est mal ce que l’on fait? » Elle balaie son hésitation : « Non, rien de plus classique ».
« Sur les Quais » écrit une nouvelle page de féminité et masculinité décomplexée « à la Gaultier ». Plus que jamais, la fille est forte et libérée, quand le garçon assume sa part de sensibilité et de féminité, « Classique », toujours plus fatale et « Le Male », dans son rôle de dur au cœur tendre. Mais où s’arrêteront-ils ?

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Classique » et « Le Male », des parfums prédestinés au désir

Ces deux-là sont faits l’un pour l’autre : deux corps qui se répondent, deux aimants qui s’attirent, les pièces d’un puzzle qui s’imbriquent.
Dans un flacon corps aux courbes généreuses, sculpture de verre triomphante, la femme « Classique » est sensuelle à l’extrême, délibérément sexuelle dans ses provocations. Parfum de femme, fatale, « Classique » invente une diva en corset de satin, une tentatrice à la peau de soie.
Dans son flacon corps aux formes presque indécentes : pectoraux, fessiers et abdos d’acier, belle carrure, marinière et corps de rêve, « Le Male » est sexy à se damner. Il est LE marin, celui qui attise les fantasmes les plus fous, suscitant un imaginaire sulfureux…